Blood & Chocolate
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Qui a dit que ce n'étaient que des légendes?
 
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 Le lac

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2 participants
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Tom Reeds

Tom Reeds


Messages : 3
Date d'inscription : 18/06/2009
Age : 29

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MessageSujet: Le lac   Le lac I_icon_minitimeVen 19 Juin - 15:02

Le vent passant dans mes cheveux me donne l’impression de voler dans le ciel, il part et emporte tout mes souci avec pour un certaine durée les pensée dans les étoiles disperser dans le ciel et ces ténèbres me voila seul assis dans l’herbe au bord du lac ou se reflète le ciel dans un autre monde plus beau que le notre pollué par les humains et leur bêtises leur soif de pourvoir en vouloir toujours plus et maintenant a cause de sa les ténèbres enfouit au plus profond de la terre se réveille dans les plus vieille légende pour nous punir de notre insolence envers la terre les ténèbres on fait renaître l’ère des lycans et des vampires et nous les humains nous sommes au milieux de cette guerre nous sommes des proie faible et sans défense face a c’est créature des ténèbres qui sont revenue du plus profond de la terre pour nous punir de tout nos pêchers et me voila au milieux de cette guerre qui fait de plus en plus de morts bientôt nous les humains disparaîtrons pour laisser place au lycans et au vampires pour la plus grande guerre que la terre et connue et elle réduira la terre a néant. Mais il faut bien se dire que ce n’est pas encore et que il doit rester un moyen de nous sauver nous humain que je méprise de tout mon cœur pour toutes les atrocité qu’il on pu crée en toutes impunité juste par cupidité. C’est ceci qui a conduit mes parents a la morts car si les lycans n’était pas apparue mes parents serais encore en vie je hais les lycans autant que je hais les humains. Que dire des vampires je ne sais que peut de chose sur eu et je peut dire qu’il me fascine et que j’aimerais en savoir un peu plus sur eux qui m’ont l’air d’être moins dégénérait que les lycans mais tout aussi destructeur c’est pour cella que je les évite il sont tous aussi dangereux je dirais même plus que les lycans qui travaille en groupe généralement d’après se que j’ai pu observer contrairement au vampire qui agisse seul mais qui sont saint de guilde crée parmi leur race. Je ne sais pas trop quoi penser d’eux.
Que cella peut-il bien être se bruit que je viens d’entendre le froissement d’un feuille d’automne quelqu’un arrive derrière moi je ferait mieux de ne pas me retourner et de faire attention attendre en silence voir si j’entend d’autre bruit. Je commencer a entendre des bruit de pas comme si il frôlait a peine les feuille sur le sol qu’es que cela pouvais bien être sûrement un vampire pour faire si peu de bruit un lycan aurait fait beaucoup plus de bruit que faire rester la sans bouger ou partir ?
Puis d’un coup le bruit se fit de plus en plus proche et je senti une respiration dans mon dos. C’était de moment de partir ou de mourir je choisie de partir en me levant je me suis retourner et la se que je vie indescriptible…
Alors c’est comme sa un vampire ce n’était pas du tout l’idée que je m’en était faite elle portait de beau vêtement et avait une longue natte et sa peau était diaphane comme moi elle avait les cheveux blanc des yeux gris elle se déplacer avec grâce je fut saisi pas sa beauté paralyser je ne pouvais bouger qu’allait-il m’arriver après ce ne serais pas un mort si horrible que de mourir sous les crocs d’une femme vampire aussi belle.
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Elizabeth

Elizabeth


Messages : 198
Date d'inscription : 12/06/2009
Age : 30
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MessageSujet: Re: Le lac   Le lac I_icon_minitimeDim 21 Juin - 11:51

23h45 : Quartier Résidentiel…

Furtive, je m’avançais dans l’ombre des réverbèrent. La lumière jaunâtre rendait la couleur de ma peau verdâtre et terne, comme si l’on venait de me déterré d’un quelconque cimetière. Pourtant voila maintenant 810 ans que je suis éveillé, que la mort et moi, somme mariée. Ce soir, encore, une fois, le terrible jugement de ma chère compagne avait décidé de m’envoyé en chasse. Elle réclamait de la nourriture, quelque chose pour se sustentais et c’est en digne servante que je m’étais rendu à l’appel du sang. Mon combat commençait tout juste. En cette nuit claire et humide, j’étais habillée d’une robe en voilage blanche et broderie noire ainsi qu’un petit boléro qui cachait mon épaule dénudée. J’avais faim, faim d’une soif brulante et menaçante. J’avais faim, oui, j’avais très faim mais j’avais une envie inimaginable de détruire, de ravagée quelqu’un, de le faire souffrir. Pourquoi, me direz-vous. Eh bien cela est simple, j’ai besoin de m’amuser ce soir. Besoin de devenir autre chose qu’un fantôme qui vient a peine de revenir à la vie. Bref, je marchais d’un pas sûr, à la fois gracieux et animal, à la fois rassurant et menaçant. J’étais à la fois l’amie des humains mais aussi leur pire cauchemar, leur pire ennemie. J’étais prête à me servir d’eux mais ce qui m’importait le plus c’était jouais avec leur intelligence de lapin, toute manière je les considérais comme une sous race, nous autre étions plus supérieur qu’eux. Ces choses n’étaient bons qu’à me nourrir, à détruire la terre, et à procréer jusqu’à plus fin. Sur ce point je ne les enviais pas, d’ailleurs sur aucun. Bref, j’étais plongé dans mes pensées quand tout à coup un arôme tout à fait délicieux vint me chatouillait les narines. Ce parfum était prenant, j’y sentais des fragrances de tulipe, de sucre de canne, de cannelle, d’iode et d’une touche de rose rouge. Ce parfum était envoutant, exquis, je dirais. Je fermais doucement les yeux, et laissais mon odorat et mon instinct de chasseuse prendre le dessus sur mes autres perceptions. J’avançais doucement, mes talons blanc assortis à mes cheveux et au gris presque blanc de mes yeux, cliquetais sur le sol de béton. Un sourire énigmatique vint lentement se collé à mes délicieuse lèvre. Un Sourire carnassier quelque peu presser. Dans ma démarche pouvait se sentir toute la tension que l’odeur provoquer dans mon corps et dans mes muscle, j’avais faim, faim de mort, faim de souffrance, faim de carnage et de sang. Mon pas s’accéléra. La fragrance devenait de plus en plus puissante, la fin était proche, l’assouvissement de mes désirs était tout aussi imminente. Ce n’était plus qu’une question de temps. Tic Tac Tic Tac Tic Tac … Les secondes passaient. L’odeur se faisait de plus en plus vive dans mon esprit, mes nerfs de pierres vibraient de plus en plus, je ne sentais plus l’air me caressait le visage avec douceur, je n’entendais plus rien, j’étais comme seule dans un nouveau monde mais c’étais un monde que je ne connaissais que trop bien ! Mon monde, mon bulle d’hystérie, le monde où toutes mes douleurs, tous mes désirs étaient mis à nu et assouvis. Ce monde où seul les vampires et les loups garou pouvaient se mouvoir. Ce monde où les hybrides avait du mal à réagir, où ils étaient totalement au ralenti, ce monde où j’étais reine. J’avançais encore et encore quand tout à coup j’ouvris les yeux fébrilement. Elle était là. Ma proie. Elle m’attendait figée dans un sourire main dans la main avec son chérie. Apparemment ils sortaient ce soir. Un sourire dés plus éclatant anima mon visage comme le soleil réanime la terre après la froideur et la noirceur de la nuit. Quel délice que de la regardait, elle qui ne se doute de rien, et lui qui deviendra fou et qui sera accusé sur meurtre de sa chère et tendre. Doucement je m’avançais vers le couple. Elle me donnait de plus en plus faim, ah, tellement exquise, je ne savais si j’allais résister mais j’étais bien décidé à ne l’éveillée qu’elle. Et puis non, tranquillement tous ! J’veux qu’ils entendent ses cris et ses implorations. J’veux qu’ils entendent tout. En un battement de cil, tout redevint normal, ils se remettent à marché rigolant et papotant de chose et d’autre. Ils ne savaient pas que j’étais la. Ils ne savaient pas que la mort était tout prés. J’humais l’air doucement et doucement je passais à l’attaque. Je sortais une cigarette d’un paquet que je tenais à la main et hélais.

-Excusez moi, messieurs dame, auriez vous du feu ?

Le couple se stoppa net lorsqu’ils virent mon visage blafard et terne, et je cru voir dans leur yeux une lueur de peur. Parfait, tout bonnement parfait.

-Ou…oui… oui oui, j’ai du feu.

La jeune femme s’approcha doucement de moi et sortit un briquet de son pantalon puis mettant ma cigarette entre mes lèvres de pierre, la jeune femme alluma son briquet. Je tirais une latte puis soufflais la fumer entre mes lèvres entre ouvertes. Puis tout se passa très vite ensuite, je jetais la cigarette qui s’écrasa dans le caniveau puis tout sourire j’me jetais sur la jeune femme qui se mit à hurlait de toute la puissance de ses poumons. Nous tombâmes au sol et je la plaquais contre le bitume et dans mes yeux elle put lire toute la folie qui m’animée tout à coup. Elle tenta de se débattre, mais je la tenais fermement et je m’étais mise à califourchon sur son dos étant donné qu’elle était tombée à plat ventre. Le jeune homme lui tenta de se jeter sur moi et d’un coup violent je le projeter contre un muret proche ainsi il fut assommé. La jeune femme hurla de plus belle lorsqu’elle vit un loup garou sortir d’une maison en explosant la porte et en se jetant sur le jeune homme. Son fiancé. Lorsqu’elle poussa son cri je plantais des dents acérées dans son cou et d’un coup précis j’en tranchais l’artère jugulaire. Elle hurla, elle commença à se débattre avec plus de véhémence, elle hurlait à en déchiré les tympans des autres pendant ce temps son sang coulé dans la bouche et une douce chaleur commença à emplir mon corps. Je fermais les yeux me laissant entrainée dans ce tourbillon de joie qu’était l’assouvissement de ma soif. Pendant ce temps là, le loup garou déchiqueté le jeune homme, le défiguré, en faisait de la charpie sous les yeux meurtris de la compagne de l’humain. Les cris se transformèrent en souffle rauque puis en un glougloutement en fond de gorge puis livide elle s’écroula au sol, vidé de toute vie, de tout sang, vidé de son âme que je lui avais volé. Je me relevais avec souplesse puis passait délicatement le bout de ma langue sur mes lèvres ensanglantées. Ainsi je laissais la dépouille au sol, et m’en aller, laissant les restes de mon repas au lycan qui venait d’engloutir l’homme. J’aimais bien c’est bestioles, elles étaient toujours là quand y avait d’la cher fraiche au menu. Jetant un dernier coup d’œil derrière moi je partais en direction du lac. Je me mis à courir, fière et heureuse du regain de force qui avait emplis mes muscles. Cette énergie m’était plus que nécessaire car mon don en bouffait la majeure partie, sans parler des combats que je devais essuyer pour réussir à me nourrir. Je courrais, furtive et rapide, presque invisible aux yeux des gens. J’entrais dans la forêt et toutes les fragrances humides vinrent me chatouiller les narines et émoustiller mes nerfs. L’humus humide, le mousse sur les arbres, l’odeur des différentes écorces, les plantes, la douce saveur des animaux qui animaient la forêt. Je m’y enfoncé encore et encore jusqu’à s’qu’un nouveau parfum, plus viril, plus mal, plus écorché et plus prononcé. C’était une saveur d’humain, certainement un male au vu de ce parfum corsé. Doucement je courrais en direction de l’inconnu qui avait ce parfum. Tic tac tic tac tic tac. Je bifurquais doucement et sortais de la forêt pour faire face à un lac quand tout à coup je tombais nez à nez avec un bel humain dont la fragrance me piqua le nez. Je le fronçais et reculais dangereusement. Il sentait le loup pourtant à cet heure-ci tous était transformé donc j’en conclus qu’il n’en était pas là. Je me décalais doucement en tournant autour de lui, agressive et lointaine. J’étais repue mais un humain de plus dans l’estomac ne pouvait que m’être bénéfique mais j’hésitais .Pourquoi ? je ne savais pas !
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