Delilah Davis
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Date d'inscription : 20/07/2009
 |  Sujet: hey there delilah;  Lun 20 Juil - 10:48 | |
|  I am what i amNom: Davis. pas franchement français, je vous l'accorde. Du moins, il ne sonne pas comme tel. Je vous avouerai que c'est normal. Mon nom a des consonances américaines; je suis anglaise. Mais après tout, qui s'en souci ? Personne. Même pas moi.
Prénom: Delilah Rose. Ou encore Delilah tout court pour vous. C'est original, je sais. A vrai dire, mes parents n'ont jamais aimé la banalité. J'aime mon prénom, choisis par ma mère. Il est particulier, doux et mystérieux. Un peu comme moi. Pour mon second prénom, c'est mon père qui a fait son choix. Il aurait voulu m'appeler Rose, ou encore Lily. Typiquement anglais, un peu trop banal à mon goût.
Surnom: Dell, lilah. La fille qui ne sourit jamais. Rare sont ceux qui m'appelle ainsi. Il faut dire que ce n'est pas le peu d'amis que j'ai qui me donnerons un surnom affectif.
Âge: 17ans. Non, je ne trouve pas ça franchement jeune. Pas franchement vieux non plus. Mais a quoi bon compter les années ? Ça fait bien longtemps que j'ai cessé de le faire, moi. Mais les autres sont toujours là pour me le rappeler. Happy Birthay, Delilah.
Sexe: Féminin. Ne voyez-vous donc pas mon visage ? Ressemblerai-je à un homme ? Voyons, il serait temps de dresser vos lunettes sur votre nez. You want a piece of me ? Caractère: Silencieuse. C'est le premier mot qui vous viendrez à l'esprit pour écrire la charmant Delilah. C'est surement l'adjectif qui la qualifie le mieux. On ne peut pas dire qu'elle soit discrète : des regards se retournent sur son passage. Mais jamais parce qu'elle rit aux éclats, parle trop fort, ou essaie de tout faire pour se faire remarquer. Jamais. Delilah est bien trop élevée pour cela. Reprenons. Delilah est avant tout une fille mystérieuse. Qui sait ce qui se passe dans sa petite tête de poupée ? Personne. Il est impossible de déchiffrer le moindre de ses sentiments, la moindre de ses expressions. Telle une vraie poupée, elle agitera seulement la tête pour répondre à vos question. Chanceux sont ceux qui ont déjà pu entendre le son de sa voix. Timidité excessive ? Surement pas. Elle est seulement plus silencieuse que la moyenne, et préfère écouter et analyser plutôt que de parler. Analyser vous dîtes ? Delilah est d'une intelligence surprenante. Rien a voir avec le degré de maturité d'une adolescente de son âge. Un tempérament calme qui ne trahis jamais son esprit. Même si elle pense sans arrêt, la belle brune ne s'emmêlent jamais les pinceaux. Tout est toujours très clair.
Mais que serait la belle Delilah sans ses mauvais côtés... Elle ne serait peut être pas grand chose, ou rien de plus qu'elle n'est déjà. Derrière ce visage de parfaite poupée se cache une âme aussi sombre que le fin fond de l'enfer. Enfer. Un mot de cinq lettres qui la fait doucement sourire. Vicieuse, elle n'hésitera pas a agir dans votre dos, dans la plus grande des discrétions. Elle agit toujours dans son intérêt. Les autres, elle s'en moque. Ils ne sont que de vulgaires humains, de futiles vies. Mais au fond, n'était-elle pas humaine, elle aussi ? Le commun des mortels la rattrape pourtant, un peu plus chaque jour. Qui décélérait cette profonde blessure qui la ronge jour après jour ?
Physique: Une vraie petite poupée. On pourra croire que Delilah a été moulé dans la porcelaine, comme ces si jolies poupées que l'on pourrait trouver derrière des vitrines. Son teint si pâle et lisse ne la trahit jamais. On pourrait très bien le comparé à ceux des vampires, si parfait à son gout. Les traits de son visage sont si fins qu'ils en paraissent enfantins. Pourtant, Delilah a passé l'âge de jouer a la marelle ou à la corde à sauter. La longueur de ses jambes témoigneront pour elle. Du haut de son mètre soixante-dix, elle a passé largement la taille d'une enfant. Des longues jambes fines qui vous mèneront à a un corps frêle. On touche avec les yeux, de peur de briser ce bout de fille. Foutaises. Un corps sans presque aucunes imperfections, personne n'est parfait. La belle n'a rien a envié aux autres. Son poids plume ne lui a pas permis d'avoir des formes très généreuses, mais tomber dans l'excès ne l'intéresse pas. Son corps est bien proportionné, et ce n'est pas les hommes qui diront le contraire. Comment rester stoïque devant une chute de reins comme la sienne ?
Revenons à nos moutons. Parlons maintenant du visage de la brune. Un visage fin, encadré par de longs cheveux noirs comme le charbon. Le soleil offre à sa chevelure de doux reflets, aussi doux qu'au touché. D'une finesse extrême, ses cheveux qui tombent en cascade dans son dos sembles fluides. Qui n'a jamais eu envie d'y glisser sa main ? Ce qui hypnotise le plus les gens, ce n'est pas sa longue chevelure, mais plutôt ses yeux. Des yeux en amandes, sublimés par de longs cils noirs, naturellement recourbés. Le maquillage, non merci. Ils possèdent une couleur particulière, pratiquement indescriptible. Couleur vin, quoi que bien plus clair. Son regard intrigue, charme, perce et blesse. Finissons avec sa tendre bouche. Des lèvres aussi pulpeuses que celles des poupons, superbement dessinées, couleur framboise.
Histoire : Je n'étais pas une enfant désirée. Je n'étais pas le fruit de l'amour d'un homme et d'une femme. Seulement celui d'une aventure qui a mal tournée. J'aurai aimé pouvoir comparé mon histoire à celle d'un conte de fée. Ou encore à l'histoire d'Alice au pays des merveilles. On a pas toujours ce qu'on veut. J'ai grandis sous les réprimandes de ma mère, et sous l'amour maternel d'une nourrice. Chaque jour, l'une maudissait le ciel de m'avoir mis au monde, tandis que l'autre en bénissait le ciel. Moi je ne comprenais rien. J'étais trop jeune. Et puis tout à commencer lorsque j'ai appelé ma nourrice « maman ». Je ne l'ai plus revu, depuis. Ma très chère Lucy. Cette femme qui s'occupait de moi comme sa propre fille, qui tenait à moi comme à la prunelle de ses yeux. Elle avait tout fait pour me revoir. Maman avait tout fait pour que cela ne se fasse pas. Qu'elle était naïve, cette Lucy. On attrape pas des mouches avec du vinaigre. Encore moins la plus grosse. Ma mère s'était révélée être étrangement tendre avec moi durant les quelques mois qui suivait le départ de Lucy. J'étais son faire-valoir. Elle me présentait à ses amis, telle une mère parfaite. Robes dignes de princesses, adorables petites chaussures et jolis petits nœuds dans les cheveux. Regardez Delilah, comme elle est jolie dans cette petite robe ! J'étais devenue une véritable petite poupée. A cette époque là, j'étais loin de me douter que j'étais, moi aussi, aussi fragile que la porcelaine.
Lucy est morte, ma chérie. J'ignore encore aujourd'hui ce qui m'a le plus secoué. Les trois mots qui ont détruit ma vie, ou le ton si froid de ma mère. Peut être était-ce les deux. Qui sait. J'avais a peine six ans. On ne comprend pas tout à cet âge là. Pourtant, je savais. J'en savais peut être même trop pour mon âge. Alors je me suis renfermée sur moi même, en disant à ma mère que c'était une menteuse. Menteuse. Première gifle. Elle m'arracha la parole; maman n'écoutera plus jamais le son de ma jolie voix. Maman, et tant d'autre. Je voulais Lucy. Je voulais qu'elle revienne me protéger de cette méchante maman. Je savais qu'elle reviendrait. Alors j'attendais. J'avais des amis que personne d'autre ne voyait. Je jouais avec eux. Les autres enfants se moquaient de moi. Certains s'énervaient parce que je ne parlais pas. Les gosses sont cruels entre eux. Mais ce que n'était véritablement qu'à mon entrée au collège que tout devenait plus compliqué.
Les gens sont bêtes et ne veulent pas comprendre. Ils voulaient à tout pris que je parle. Ils pensaient surement que je me moquais d'eux. N'était-ce pas ça, au fond ? J'avais du mal a m'adapté. J'étais la fille qui ne souriait et ne parlait jamais. J'étais la fille aux longs cheveux noirs et aux yeux étranges. J'étais la fille aux jolies robes. J'étais une petite poupée dans un monde de brusque. Mais j'étais encore forte. Je me moquais des gens autour de moi. Je les maudissais, tout autant qu'ils étaient. Je n'avais pas d'amis, j'étais toujours seule. Et Lucy me manquait de plus en plus. Au fond, c'était elle, ma mère. Je me sentais délaissée, abandonnée. Les professeurs s'inquiétaient de mon comportement. Convocation. Bonjour madame. Au revoir monsieur. Anormalement silencieuse. Qu'est ce que ça pouvait leur faire. J'étais une élève brillante, peut être même la plus brillante du collège. Je n'avais pas besoin d'être populaire pour vivre. Le directeur a avoué a ma mère que l'on me persécuter. Silence. On m'a envoyé voir un psy. Alors Delilah, raconte moi. Qu'est ce qui ne va pas ? Et j'avais horreur de ça. Je n'adressais pas à un mot à la psy. J'en avais déjà fait craquer deux. En plus du compte en banque de ma mère.
Et rien n'était fini. J'étais malade. Je toussais du sang. Le liquide rouge tachait les paumes de mes mains si blanches. J'étais horrifiée. Direction l'hôpital. Désolé madame. Mais il est trop tard maintenant... J'étais malade, j'allais mourir. Je ne savais pas quand. Je pouvais claquer à tout moment. Ce qui n'était qu'un simple coup de froid se transformait en une maladie dont j'ignore le nom tellement il est long et compliqué, incurable, de plus. J'avais peur, mais j'étais confortée dans l'idée de rejoindre Lucy. Et le temps se faisait long.
Je finis par partir d'Angleterre, pour atterrir en France. Une ville qui ne me plaisait pas particulièrement, mais je n'avais pas eu le choix. On disait qu'on pourrait peut être me soigner, là bas. Les médecins avaient pourtant dit à ma mère que j'étais trop fragile. Mais elle s'en moquait. Elle voulait être Lucy, elle voulait jouer au rôle de la mère parfaite qui prend soin son enfant. Menteuse. Je n'ai pas eu de mal à m'habituer à la France. Je parlais bien la langue, malgré mon accent qui me trahissait parfois. Je l'avais appris au collège, étudié chez moi. A vrai dire, personne ne m'a encore entendu parlé cette langue. Et puis cela serait bien inutile. Je n'ai pas besoin de mot pour me faire comprendre. Seulement de quoi pouvoir lire et écrire.
Les gens étaient finalement les mêmes partout. Ils me regardaient tous avec des yeux ébahis. Ils me dégoutent, tous. C'était le même cinéma qu'en Angleterre. Mais tu vas me répondre, oui ?! T'es muette ou quoi ?! Insultes, bousculades, coups de poing et des pieds parfois. Ils iront tous en enfer. Ils paieront pour leur faute. Lucy avait tout faux. Le monde n'est pas si joli que ça. Menteuse.
Tic: Un tic ? Delilah en a pas mal. Passer une main dans sa longue chevelure, en les ramenant sur une épaule. Passer une main consciencieuse sur ses vêtements, comme pour en enlever le pli. Lever un sourcil dans une situation qui l'agace. Coller une de mes mains sur ses joues lorsqu'elles s'empourprent. Et tellement encore...
L'inspiration n'est pas trop au rendez-vous. Je me rattraperai en rp x)
Dernière édition par Delilah Davis le Lun 20 Juil - 13:30, édité 3 fois | |
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Delilah Davis
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| | Sujet: Re: hey there delilah; Lun 20 Juil - 10:49 | |
| Behind the screen Surnom: <haachi>
Âge: 1*ans.
fréquence de connexion: tous les jours.
Nombre moyenne de lignes: Ca dépend de l'inspiration. 40 lignes minimum.
Code: Okay By aby | |
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Aby Monster
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Delilah Davis
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| | Sujet: Re: hey there delilah; Lun 20 Juil - 13:44 | |
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